Au bout de 20 ans de recherches, elle a été identifiée :
Découvrez la meilleure formule
pour transformer vos mises en gains réguliers !
Avant que vous en découvriez plus sur cette formule de jeu inédite, vous devez savoir qui se cache derrière tout ça, et plus important encore : pourquoi et comment il en est arrivé là. Rencontre exclusive avec Mathieu Lecomte, l’initiateur de cette formule de jeu...
Mathieu Lecomte, Top Manager du CDCH,
vous explique dans ce rapport confidentiel pourquoi il tient tant à vous aider aujourd’hui, et surtout, comment il va s’y prendre...
Très Cher Ami,
Vous êtes concerné directement par ce qui s’est passé en 1988, quand j’étais au collège. C’est là que tout à commencé, et vous allez comprendre très vite…
Cette histoire, quasiment personne ne la connaît. Et il est important que vous la découvriez, parce qu’une fois que vous en saurez plus sur moi, vous vous rendrez mieux compte à quel point ce qui suit est unique.
Depuis mon enfance, j’ai du mal à dire “non”. Dès qu’on me demandait de l’aide, je disais “oui”.
Au collège, j’étais le “gentil” de service. C’est là que tout à vraiment commencé : dans un petit collège de la campagne Alsacienne, à partir de la rentrée de septembre 1988.
Le prof n’avait plus de craies pour écrire au tableau ? J’allais en chercher. La carafe d’eau était vide à la cantine le midi ? J’allais la remplir. La balle était sortie du terrain ? J’allais la récupérer... Le caïd de la classe me demandait de le laisser copier sur moi ? Evidemment, j’acceptais.
Au lycée, ça a évidemment continué de plus belle. Quelqu’un avait besoin de mon aide ? Je disais oui, toujours oui ! Les parents d’un ami de lycée déménageaient ? J’étais là ! Il fallait remettre les tables en ordre dans la salle de classe après un travail en groupe ? C’était pour moi !
bien gardé...
Je disais tellement souvent “oui” que j’ai hérité d’un surnom : “Columbidus”. C’était une autre façon de m’appeler “Pigeon”. Très peu de gens sont au courant, j’ai gardé ce secret bien enfoui. Parce que selon le Larousse, traiter quelqu’un de pigeon est une façon familière de dire qu’il est facile à duper. J’étais devenu le “pigeon de service”.
Le fait d’hériter de ce surnom a été un vrai déclic pour moi : même s’il est plutôt désagréable que les autres se moquent de vous, j’ai compris qu’aider les gens fait partie de mes valeurs profondes. Et même si parfois certains éxagéraient et profitaient de ma gentillesse, ça n’était pas si grave que ça au final : les autres étaient sincèremment contents que je les aide, et rien que pour ça, je continuerai à faire mon maximum pour eux.
Aider les gens fait partie de mes valeurs profondes
Ça fait bien plus de 20 ans que j’ai quitté le lycée, et au fond d’une boîte de mon bureau se cache encore le dessin d’un “copain” de l’époque : il m’avait représenté en pigeon… Ce dessin, je le garde précieusement. Pour me souvenir d’où je viens, qui je suis, et rester bien aligné avec mes valeurs.
Et ces valeurs vous concernent directement. Même si beaucoup d’eau a coulé sous les ponts, je suis toujours le même : toujours disponible pour écouter mes proches parler de leurs soucis de coeur (comme ce midi par téléphone avec une amie), de leurs problèmes au travail (hier par SMS avec un copain). Je suis toujours présent pour un déménagement (samedi dernier encore pour un couple d’amis), toujours là quand un proche a besoin d’aide en bricolage (une amie retape son appartement). Toujours le premier aussi quand il s’agit d’organiser quelque chose (lundi dernier par exemple, c’était une rencontre avec une cinquantaine de personnes autour de la thématique du cinéma).
En d’autres termes, j’aide ceux que je peux aider, et je le fais à fond, avec toute mon énergie !
Plus important encore, et c’est aussi une façon de vous aider, je suis toujours prêt à parler de ce que j’aime, et prêt à vous faire profiter des connaissances que j’ai accumulées et sur lesquelles je me suis perfectionné encore et encore au fil des ans. Comme évidemment pour les courses hippiques !
A ce stade vous vous demandez peut-être encore en quoi cette histoire vous concerne ? Poursuivez votre lecture, vous le comprendrez dans un instant…
En quoi cette histoire vous concerne ?
Ce qui est certain, c’est que je vais continuer à partager mes connaissances dans le domaine des courses hippiques, pour vous aider au maximum.
Pas plus tard qu’hier j’ai convaincu le banquier du Centre de Documentation des Courses Hippiques, que je coordonne aujourd’hui, de s’intéresser aux courses : il a admis lui-même que les placements bancaires rapportent tellement peu actuellement qu’il vaut mieux trouver d’autres alternatives pour gagner de l’argent. Et il est reparti, très intrigué, avec des tactiques de jeu dans son cahier !
Avec plus de 20 ans d’expertise dans le domaine des courses, un souci constant d’innovation, de progression et d’amélioration, un perfectionnisme qui agace parfois ceux qui m’entourent, j’ai bien l’intention de vous apporter plus d’aide que jamais pour vous voir atteindre vos objectifs et réaliser vos rêves.
Les courses sont notre point commun, à vous et moi. C’est pour ça que je vais vous aider aujourd’hui !
Au CDCH, quand nous aidons quelqu’un à gagner aux courses, comme je l’ai fait avec notre banquier, notre plus grand plaisir c’est quand la personne nous contacte après coup pour nous dire qu’elle a gagné grâce à nos conseils.
Comme par exemple Francis J. :
“J’ai suivi votre conseil, j’ai joué les 5 premiers chevaux à 10 € et j’ai gagné 1250,00 € !”
Jacky D. est également ravi :
“J’arrive à 1 000,00 € de bénéfice pour le mois de mai, c’est formidable !”
Et Maurice B. encore plus :
“J’ai gagné le Tiercé dans l’ordre, soit 2 209,80 € (…) Merci et continuez à nous fournir de bons conseils !”
Des exemples comme ceux-là, nous en avons des centaines d’autres au CDCH - plus de 4 200 en fait...
Vous l’avez compris : je mets toute mon énergie à vous aider. Pour vous permettre de grandir toujours plus, et d’avancer vers une vie meilleure, vers la vie qui vous fait rêver...